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Vakom à La Réunion recrute un Responsable Administratif et Financier F/H

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Double explosion de joie et de fierté
dans le BOREZO VAKOM

Par Delphine Duramé
Vakom

Pour la 15ème fois en 11 participations, la franchise RH VAKOM est récompensée lors de la prestigieuse 36ème édition du concours IREF (Fédération des Réseaux de Franchise et de Partenariat). La cérémonie qui s’est déroulée le 13 novembre 2023 au magnifique studio Gabriel en présence de Michel Drucker a été un grand moment retransmis en direct et largement relayé sur les réseaux sociaux. Cette année encore, le réseau de franchise VAKOM a décroché non pas une mais deux distinctions, ce qui confirme son engagement et son succès continue dans le domaine de la franchise.

 

Des dirigeants exceptionnels

Gaëlle ORQUEVAUX et Caroline BERNARD, dirigeantes de VAKOM à Charleville Mézières, ont reçu le « Prix de la progression économique » soulignant leur performance de développement et leur contribution à la réussite de leurs clients.

Delphine BATTESTI et Philippe NAUDI, dirigeants de VAKOM à Toulouse, ont reçu le « Prix de la communication événementielle » illuminant leur créativité et l’impact de leurs actions au service des entreprises de leur territoire.

MERCI et BRAVO à Gaëlle, Caroline, Delphine et Philippe et à leurs équipes pour leur enthousiasme, leur professionnalisme et leurs qualités humaines au service de la performance Humaine de leurs clients autour du Sens de l’Humain.

 

L'IREF & la franchise VAKOM : un succès commun

Le réseau de franchise Ressources Humaines VAKOM, fidèle à ce concours depuis 2012, compte désormais 15 trophées en 11 ans. Ces récompenses symbolisent la reconnaissance de la progression continue de la qualité, de la performance, de l’engagement et de la confiance de tous les acteurs de notre BOREZO.

La réussite des franchises VAKOM résulte d’un véritable esprit d’équipe et du dynamisme remarquable des dirigeants franchisés et de leurs équipes. Leur volonté constante de faire grandir et réussir leurs clients témoigne de leur confiance dans nos valeurs autour du Sens de l’Humain.

https://vakom.fr/franchise-rh/la-franchise-vakom/

 

L’IREF : Plus qu’un Concours, une Reconnaissance

Fort de plus de 30 ans d’existence, l’IREF valorise les enseignes françaises et européennes de toutes activités. Elle joue un rôle crucial en rassemblant toutes les formes du commerce organisé indépendant.

Sous le haut patronage du Ministère du Commerce et de l’Artisanat, le concours IREF célèbre les meilleurs franchisés et partenaires, mettant en lumière la qualité, la fiabilité et la pérennité des réseaux de franchise, une véritable garantie pour les futurs entrepreneurs.

VAKOM Charleville-Mézières

Gaëlle ORQUEVAUX et Caroline BERNARD, dirigeantes de VAKOM à Charleville Mézières ont reçu le Prix de la progression économique.

VAKOM Toulouse

Delphine BATTESTI et Philippe NAUDI, dirigeants de VAKOM à Toulouse ont reçu le Prix de la communication événementielle.

 

 

Je me lance avec VAKOM !

 

Les relations vous passionnent !

La Performance Humaine vous inspire !

L’envie de grandir et de faire grandir vous attire !

Le Sens de l’Humain en vous résonne !

 

  • è Vous souhaitez accompagner les dirigeants et leurs équipes dans leurs défis organisationnels et humains ?
  • è Vous voulez trouver un sens individuel dans un projet collectif ?
  • è Découvrez avec NOUS comment agir en entrepreneur et faire partie d’une aventure humaine lancée il y a 35 ans.

 

Soyez le prochain à construire une histoire commune de réussite au service de l’Humain en combinant l’épanouissement et la Performance.

 

« On réussit seul mais jamais sans les autres »

 

 

Envie d’en savoir plus sur la franchise VAKOM ?
Contacter Lise Lefebvre ! Responsable du réseau de franchise VAKOM –
franchise@vakom.fr

Plus d’infos : https://vakom.fr/franchise-rh/

 

La franchise VAKOM sera présente du 16 au 18 mars 2024
à Paris Porte de Versailles – Stand G67

 

 

« Pendant ces temps bizarres et compliqués, bien qu’il y ait un besoin de force de travail démesuré, il y a aussi des tas de difficultés pour les personnes à la recherche d’un poste d’en trouver un. Cela est assurément dû à toutes sortes de raisons, mais l’une d’elles – comme ma propre expérience me l’a récemment montré – est celle qu’il semble y avoir beaucoup de recruteurs sur le marché qui ne soient pas très sérieux. Eh oui, c’est qui m’est arrivé aussi… J’ai eu beau à me demander pourquoi quelqu’un formé comme moi, expérimenté comme moi et disponible comme moi avait du mal à se trouver un poste – pourquoi était-ce si compliqué, quand cela ne devrait pas du tout l’être ? Et pourtant…

Un jour pluvieux et froid de janvier 2023 mon portable sonne – « bonjour, je suis Marion Mercier de l’agence Vakom ». Et, d’une voix calme, rassurante et bienveillante, en très court, Madame Mercier de l’agence Vakom a fait que le reste soit désormais de l’histoire. Une histoire de gens sérieux, professionnels, engagés envers les autres. Des gens qui savent ce qu’ils font, pourquoi ils le font, pour qui et avec qui ils le font. Des gens de bien.

J’ai été très contente et je le suis encore de l’accompagnement reçu le long de mon processus de recrutement pour un poste où je me trouve très bien, qui me correspond en totalité et où je sens pouvoir faire les choses bouger dans le bon sens. Avec patience et ouverture, Madame Mercier et Vakom m’ont fait la preuve que le professionnalisme dans le recrutement non seulement existait encore, mais qu’il était bien fort. Lors de nos entretiens successifs, de la mise en contact avec l’employeur et depuis le début du contrat, j’ai trouvé des réponses à mes multiples questions, de la compréhension, des échanges sincères et ouverts, qui m’ont tellement aidé à m’intégrer, à me trouver une place mais aussi à connaître et m’habituer plus vite à mon nouvel environnement de travail.

Ci-dessus ne représente pas seulement des mots. C’est en très bref mon histoire toute récente, où je suis arrivée à constater que voilà que parfois, dans des moments d’incertitude et de perte de confiance en nous-mêmes, où on est amenés à nous mettre en question aussi bien professionnellement que personnellement, il y a le portable qui sonne et qu’on découvre que quelqu’un à l’autre bout du fil veut vraiment faire du bien, qui dit « bonjour, agence Vakom ». Et alors ça marche – confiance regagnée et parcours professionnel rétabli de la bonne manière. Grâce et à l’aide de gens de bien. »

Vakom à Nantes (suite…)

VAKOM s'offre un nouveau logo

Par VAKOM

Pour quoi un nouveau logo Vakom ?

Chez Vakom, on a du contenu, beaucoup de contenu.Mais on a aussi beaucoup d’histoires, d’idées, de personnalités et de responsabilités…Alors quand vient le temps de remettre tous ces contenus au goût du jour, retravailler un peu nos supports et les moderniser, il est inimaginable de se contenter de mettre 3 images un peu à la mode, de changer une police de caractères et se dire « Youpi, bien joué la Team, c’est fait » ! 

On préfère prendre le temps de travailler en profondeur sur ce que nous sommes, sur ce que nous voulons être, quels messages et valeurs transmettre, les exigences en termes de qualité, d’authenticité… Le tout sans rien oublier de ce qui a déjà été fait en plus de 30 années d’histoire. 

Parce que le moindre changement n’engage pas que nous…Il concerne 90 vakomiens présents à vos côtés sur 40 implantations, les membres du réseau « Le Sens de l’Humain » qui s’appuient chaque jour sur nos méthodes et puis nos clients, sympathisants, peut-être vous, qui un jour avez décidé de nous faire confiance. 

Finalement, c’est avec tout cela en tête que l’on finit par faire évoluer notre logo.Une évolution et non une révolution. Impossible de se passer du rond qui symbolise le mouvement, le rebond, l’unité et l’alliance. Un rond/cercle désormais ouvert, où chacun existe, prend, donne et s’épanouit car c’est ainsi que nous ambitionnons les Ressources et Relations Humaines. 

« Changer c’est exister demain »
dit-on souvent à nos clients.Tant qu’à faire, appliquons ce que nous leur conseillons, il faut parfois savoir changer pour pouvoir rester les mêmes. 

Nous sommes très fiers de vous présenter ce logo qui accompagnera le prochain chapitre de la vie de Vakom et qui, nous l’espérons, vous accompagnera aussi. 

Volonté de faire :
Jean-Louis Fel invité du podcast

La Volonté de faire de Felix Cladière

C’est dans le cadre de sa série d’interviews d’entrepreneurs et de leur parcours, que Felix Cladière a reçu Jean-Louis FEL, fondateur de VAKOM.

Durant une vingtaine de minutes, celui-ci présente son aventure d’autodidacte, son arrivée dans les Ressources Humaines et comment il en est arrivé à créer une solution depuis validée par des dizaines de milliers d’utilisateurs : la Méthode OPR.

Bonne écoute 

 

 

Description de l’épisode
Pour ce nouvel épisode, « Une volonté de faire » reçoit Jean-Louis FEL, président de VAKOM et créateur de la Méthode OPR qui permet à chaque personne de mesurer avec objectivité et simplicité les forces et les faiblesses de sa communication, de son management et les effets sur sa relation avec l’autre.

Pour nous Jean-Louis FEL revient sur son parcours, atypique puisqu’il arrête l’école à 16 ans et devient électricien. Un jour, alors qu’il fait son service militaire, il se découvre une joie à entrainer les autres.

Ici commence son chemin vers les Ressources Humaines.

11ème RECOMPENSE IREF
POUR LE RESEAU VAKOM

Par Delphine Duramé
Vakom

Pour la 11ème fois en 9 ans, le réseau VAKOM est récompensé par l’un des prestigieux prix IREF.  C’est cette fois Olivier LAURENT, dirigeant de VAKOM à Vannes qui a reçu le trophée du « Prix de la réussite commerciale du Réseau », lors de la remise des trophées, le 29 novembre dernier sur BFM Business.

L’IREF : Un concours mais pas seulement ?

L’IREF (Fédération des Réseaux Européens de Franchise et de Partenariat) valorise toutes les formes du commerce organisé indépendant et associé (franchise, partenariat, concession, licence de marque, commission-affiliation …) vise à valoriser toutes les formes de commerce indépendant organisé. L’organisme permet à toutes les formes de réseau de se retrouver pour échanger leurs compétences et leurs expériences au cours d’ateliers pour s’enrichir de leur différence mutuelle et permettre une émulation de toutes ces formes du commerce organisé indépendant et associé aux techniques juridiques, commerciales, économiques et managériales différentes.

Depuis 28 ans, L’IREF est également, reconnue pour son concours. Sous le haut patronage du Ministère du Commerce et de l’Artisanat, celui-ci valorise et récompense les meilleurs franchisés et partenaires de France  et rappelle la qualité et de fiabilité des réseaux de franchise, véritable gage de confiance.

Le réseau de franchises RH VAKOM récompensé chaque année

Depuis 2012, le réseau VAKOM participe à ce concours. Après avoir obtenu le trophée « Espoirs pour les Réseaux de Franchise et de Partenariat » la première année, c’est au moins un franchisé du réseau qui est mis à l’honneur, reconnu pour sa qualité et ses résultats chaque année.

La cérémonie du 29 novembre 2021, retransmise sur BFM TV et relayée sur les réseaux sociaux a récompensé Olivier LAURENT, dirigeant de VAKOM à Vannes, qui s’est vu remettre le trophée « Prix de la Réussite commerciale du Réseau » en présence d’Anne-Claire FEL, dirigeante VAKOM.

« Comme vous l’aurez compris ma stratégie commerciale est basée avant tout sur l’Humain, sur les relations. Je ne mets en place aucune action de communication, je ne fais pas de prospection dans le «dur».
Mon envie, c’est d’aller à la rencontre des personnes, d’être à l’écoute. Je vais dans toutes les réunions de réseaux pour repérer les personnes avec qui je souhaite travailler. »
Olivier Laurent
Vakom à Vannes
Olivier LAURENT et Anne-Claire FEL pour le trophée IREF 2021 « Prix de la Réussite commerciale du Réseau »

Olivier LAURENT et Anne-Claire FEL pour le trophée IREF 2021
« Prix de la Réussite commerciale du Réseau »

Les 11 récompenses IREF du réseau de franchises VAKOM

En 2012, VAKOM reçoit son premier trophée « Espoirs pour les Réseaux de Franchise et de Partenariat ».

Chaque année depuis, VAKOM sélectionne des franchises pour participer à ce concours.

  • 2013, VAKOM à la Roche sur Yon : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France »
  • 2015, VAKOM à Annecy : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Entreprise responsable ».
  • 2016, VAKOM à La Réunion : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France ».
  • 2016, VAKOM à Nantes : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Entreprise Performante ».
  • 2017, VAKOM à Quimper : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Ambassadeur du réseau ».
  • 2018, VAKOM à Melun Sénart : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France ».
  • 2018, VAKOM à La Roche sur Yon : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Implication RSE ».
  • 2020, VAKOM à Amiens : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Excellence du coaching d’entreprise ».
  • 2020, VAKOM à Grenoble : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale « Excellence du coaching d’entreprise ».
  • 2021, VAKOM à Vannes : Trophée « Meilleurs Franchisés et Partenaires de France » avec une mention spéciale du « Prix de la réussite commerciale du Réseau »
  • Qui peut y participer ?

    • Ce concours est accessible aux têtes de réseaux de franchises, aux franchisés, aux partenaires indépendants (présentés par leurs franchiseurs ou par leurs partenaires méritants). Chacun participe à la course au titre de « Meilleur Franchisé et Partenaire de France »
    Pour participer, le candidat, coopté par le franchiseur, doit décrire les raisons qui font penser qu’il est un franchisé performant en développant un des domaines suivants :
  • Economique et financier
  • Commercial ou marketing
  • Management interne ou externe
  • Management interne ou externe
  • Communication
  • Réseaux sociaux
  • Omnicanalité,
  • Créativité, innovation,
  • Organisationnel
  • Formation
  • RSE et action citoyenne et solidaire
  • En savoir plus l'IREF ?

    L’IREF est présent pour répondre à toutes les questions et préoccupations que peut se poser un candidat à la franchise ou un futur franchiseur. 

    En savoir plus : https://www.franchise-iref.com/

    Delphine Duramé, VAKOM

    L’optimisation du dialogue social dans son organisation

    Par Rémy Bayart
    VAKOM à Roissy en France

    Article issu du webinaire visible ici

    "Le dialogue paraît en lui-même constituer une renonciation à l’agressivité "
    Jacques Lacan
    Psychiatre, Psychanalyste

    À travers ces paroles, je souhaite vous présenter une première définition du dialogue social, puis mettre en évidence les bénéfices d’avoir un bon dialogue social. Je vous donnerai aussi les outils et les méthodes pour mettre en place un dialogue social efficace.

    Qu’est-ce que le dialogue social ?

    Un terme qui semble compliqué, mais peut se résumer simplement comme étant toutes les formes de négociations, consultations et échanges d’informations entre les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des questions d’intérêt commun liées à la politique économique et sociale. (Source OIT)

    Qui sont les parties prenantes dans un dialogue social ?

    Il y en a généralement 4 qui reviennent : 

    • La direction
    • Les représentants du personnel
    • Les salariés
    • Le management

    Si une de ces 4 parties prenantes n’est pas prise en compte, le dialogue social est plus difficile à maintenir et/ou à mettre en place.

    Qu’est ce que l’on négocie dans le dialogue social ?

    Parmi les sujets les plus communs et les plus souvent abordés dans le dialogue social, on retrouve la rémunération et le temps de travail, l’égalité professionnelle, la qualité de vie au travail, la gestion des emplois, la mixité des métiers et l’évolution des parcours professionnels.

    Ces sujets sont parfois délicats à traiter, et les parties prenantes ne sont pas forcément d’accord sur certains termes. L’enjeu est de garder un statuquo entre les parties prenantes pour éviter une confrontation qui mettra en péril leurs relations.

     

    Les conséquences d’un mauvais dialogue social : 

    La conflictualité entre les parties prenantes peut prendre différentes formes : des grèves, des pétitions, des refus d’heures supplémentaires, des tensions interpersonnelles…  Bien souvent, ces tensions naissent rapidement. L’enjeu premier est donc de savoir détecter les paramètres qui peuvent déclencher des sources de conflits entre les parties prenantes. 

    Les autres conséquences d’un dialogue social défaillant peuvent se traduire par une hausse de l’absentéisme, du turn-over, ainsi qu’une mauvaise transmission des informations…

    Et bien souvent, ces conséquences ont des coûts.

     

    Maintenant que nous y voyons un peu plus clair, quelle est la différence entre le dialogue social et le climat social ?

    Les deux termes sont souvent confondus. Ils sont bien liés l’un à l’autre, mais ils ont leurs différences. Le climat social, c’est un indicateur de santé humaine et sociale d’une organisation. Le dialogue social, c’est le baromètre qui détermine l’état de la relation qu’entretiennent les collaborateurs avec leur travail, et plus généralement, leur entreprise. 

    Le dialogue social, ce sont plusieurs enjeux clé, à commencer par favoriser et améliorer les relations entre les collaborateurs et/ou les parties prenantes. C’est aussi créer une culture d’entreprise solide et fiable sur le long terme. Aujourd’hui, nous le savons, et nous l’affirmons, les organisations sont plus performantes quand les collaborateurs sont motivés et que l’ambiance au sein des équipes est au beau fixe. Une étude menée par DARES démontre que les employés, qui travaillent avec des parties prenantes ayant un bon dialogue social, sont plus performants de 15%.

    Alors c’est quoi la formule magique ?

    Beaucoup plus simple que la recette des macarons, mais plus longue à mettre en place. 

    Un dialogue social + cohésion = diminution des conflits.

    Selon une étude d’Opinion Way, dans cette période post-confinement, 44% des salariés présentent des symptômes de détresse psychologique. A l’inverse de ce que nous pourrions penser, ce sont les managers qui sont le plus exposés. 

    Cette même étude interroge aussi les DRH sur les constats du dialogue social. 85 % considèrent que le dialogue social est un levier au service de la stratégie d’entreprise.

    Les enjeux majeurs du dialogue social

    • La création de confiance entre les parties prenantes. Que chacune puisse avoir confiance en elle, et en celles qui l’entourent.
    • Renforcer la communication. Nous ne maîtrisons pas toujours toutes les connaissances sur la communication. Une mauvaise communication peut se traduire par une information déformée, qui met en porte-à-faux une partie prenante, et qui créer des conflits.
    • Le troisième enjeu est d’obtenir des résultats et d’améliorer la performance humaine dans les entreprises.

    De ces enjeux découlent des bénéfices.

    Le dialogue social veille à permettre l’union des individus en vue de la réalisation d’objectifs communs. Il permet de développer les bonnes relations et la bonne communication au sein des équipes, qui deviennent plus performantes par la suite. Ensemble, les parties prenantes construisent un projet commun qui garantit la pérennité de l’entreprise.

    Second bénéfice, il développe le sentiment d’appartenance des équipes et des parties prenantes. La qualité des relations de travail favorise indubitablement la diffusion des valeurs, leurs appropriations par les nouvelles recrues. 

    Troisième bénéfice : l’augmentation de la productivité. Certaines études démontrent que les managers sont parfois exagérément optimistes sur la qualité du climat social dans leur équipe. Loin de moi l’idée de vous dire de ne pas être optimiste, mais soyez un minimum réaliste en amont. Pour coller à la réalité, et ne pas se cacher derrière un « Non non, tout va bien », le manager et la direction doivent se mettre en position d’écoute vis-à-vis de leur équipe. Une bonne écoute permet de détecter les problèmes, évaluer les solutions, réduire les craintes, responsabiliser sur la réussite des projets, et donc, d’augmenter la productivité. 

    Cultiver la performance du dialogue social grâce au Soft-skills.

    Il existe 3 grandes compétences à développer. 

    Savoir écouter : Une bonne écoute, c’est lorsque votre interlocuteur à l’impression d’être seul avec vous. Aujourd’hui, 70 % des personnes n’ont pas l’impression d’être écoutées. Selon un sondage Linkedin, 69 % des clients de commerciaux estiment que ces derniers ne les écoutent pas suffisamment. Nos filtres mentaux sont nos premiers blocages à l’écoute. En voici un exemple : un patron qui tape sur les collaborateurs, les syndicats sont en colère et manifestent. Nous avons l’image du méchant patron / collaborateur / syndicat qui vient biaiser notre perception, et donc affaiblir le dialogue social. Alors une bonne écoute, c’est quoi ? C’est se sentir écouté et respecté, c’est abolir le sentiment d’agressivité et faire émerger un climat de confiance.

    «  Un bon dialogue social, c’est passer du combat au débat, et de la méfiance à la confiance »

    Savoir négocier : Richard Nickson disait : « Il faut toujours être prêt à négocier, mais ne jamais négocier sans être prêt ». Si vous partez en négociations sans être prêt, vous partez au combat sans armes. Être prêt, ce n’est pas envoyer tous ses arguments, c’est aussi savoir recevoir les avis et les opinions divergents des vôtres, et se mettre dans une posture empathique. Lorsque l’on négocie, il faut savoir choisir le bon lieu, le bon endroit, le bon moment, les bonnes questions qui permettent d’avoir des réponses constructives. Voici une petite méthode que vous pouvez appliquer pour préparer des négociations : La méthode D.E.S.C.

    • Décrire les faits, rien que les faits 
    • Exprimer son ressenti et son besoin 
    • Solution : comment pouvons-nous faire ? 
    • Conclusion : formalisation d’un plan d’actions avec des conséquences positives pour tout le monde.

    Développer son assertivité : C’est la capacité à s’affirmer sans chercher à dominer l’autre. C’est avoir confiance en soi, mais aussi avoir confiance en l’autre. Trop souvent, ces forces sont déséquilibrées, et soit nous avons trop confiance en nous, et pas assez en l’autre, soit l’inverse.

    Voici quelques outils de mesure du dialogue social.

    Le baromètre du climat social : Il prend en compte la satisfaction au travail, le management, le stress et les risques psycho-sociaux, la communication interne, les perspectives et la confiance des collaborateurs. Par peur de voir la réalité telle qu’elle est, le baromètre de climat social est laissé de côté, ou n’est pas assez pris en compte.

    Le baromètre de l’engagement des salariés. Cet indicateur permet de prévenir les risques de dégradation du dialogue social. Ce baromètre détermine 4 types de salariés : les désengagés actifs, les désengagés, les engagés, et les engagés actifs. En France, 69 % des salariés français se disent désengagés (étude Gallup). Ce baromètre donne une photographie en temps réel de l’engagement des collaborateurs et doit servir à mener des actions d’engagement.

    Chez VAKOM, nous avons les outils qui répondent à la prévention de crise du dialogue social. La Méthode OPR®, qui permet de comprendre les comportements et les motivations de chacun. Le Diagnostic Marque Employeur, pour savoir ce que pensent vos parties prenantes de votre entreprise. Nous avons aussi d’autres outils comme le baromètre de performances RH (BPRH); la méthode de l’engagement (MDE) qui permet de savoir qui sont les acteurs engagés dans la réussite de l’entreprise, et enfin, le Baromètre des Postures Managériales (BPM), qui permet au manager de savoir ce que les autres pensent de lui, pour ensuite faire avancer les choses dans le bon sens.

    Quelques moyens efficaces pour assurer le dialogue social.

    • La formation : elle permet d’impliquer vos salariés, d’éviter le turn-over, de booster la productivité et l’innovation, tout en améliorant votre marque employeur.
    • Les entretiens professionnels : ils sont obligatoires certes, mais ils sont un véritable outil managérial. Ces entretiens permettent de mieux comprendre les salariés et d’améliorer le fonctionnement et la relation Manager / Managé. Ces entretiens doivent être soigneusement préparés en amont pour être considérés comme des outils de réflexion sur des opportunités.
    • Utiliser les opportunités de l’air du digitale pour dynamiser le dialogue social. Le confinement a accéléré le basculement du dialogue social collaboratif à distance. Si dans un premier temps, certains ont vécu un isolement, aujourd’hui, le dialogue social devient tout à fait possible à distance. Nous avons juste eu besoin d’un premier temps d’adaptation. Aujourd’hui, 67% des salariés, dont une majorité de 18-24 ans (86 %), considèrent le numérique comme un médium efficace pour porter par eux-mêmes leurs revendications aux employeurs. La peur de rentrer dans le bureau du directeur s’estompe, parfois même trop, me racontent certains clients.

    En bonus, voici quelques processus efficaces de dialogue social.

    • La procédure à texte unique. C’est faire une proposition unique pour voir ce qu’en pense notre interlocuteur.
    • Construire un bon accord sur un désaccord
    • Multiplier les objets de négociation pour avoir une compensation 
    • Utiliser le Front renversé : se mettre à la place de l’autre pour savoir ce qui est acceptable ou pas. 

     

    Mais n’oubliez jamais que c’est vous qui êtes le meilleur acteur de développement du dialogue social. 

    Rémy Bayart, VAKOM Roissy-en-France

    Gérer l’imprévu est votre Talon d’Achille ? … Développez votre Talent d’Agile !

    Par Pascal GALLIER VAKOM RLH

    Dans la pratique de « sports nature » (alpinisme, escalade, canyoning, treks, raids, trails et autres courses dorientation), il est nécessaire de gérer limprévu, lagilité et ladaptation à lenvironnement sont des facteurs clés de la réussite dune sortie.

    Gérer l’imprévu, c’est anticiper et développer son agilité

    Une belle journée ensoleillée qui tourne à lorage, une course qui devait durer quelques heures et qui se prolonge sur la nuit, une corde coincée, un éboulement, la fatigue, une blessure … la situation peut évoluer rapidement et la frontière entre le plaisir et la galère – voire la mise en danger – est souvent très mince ! Anticiper les contraintes, cest développer son agilité pour réagir au mieux face à un obstacle, à un imprévu.

    • Croire tout maîtriser est une utopie.
    • Improviser sur place frôle linconscience.
    • Espérer que lenvironnement ne sadapte est une hérésie.
    • Mengager en me voilant la face relève dune attitude dangereuse et irresponsable.

    Je vais devoir me préparer dune façon bien particulière pour pouvoir être pleinement présent, efficient, et agile dans mes actions. Maîtriser ce qui peut l’être, gérer limprévu, pour pouvoir lâcher prise sur le reste. Accepter de ne pas tout savoir ni tout contrôler pour accueillir les situations qui vont simposer à moi.

    Evidemment si je fais le tour du pâté de maisons en courant tout devrait bien se passer.

    Gérer l’imprévu, c’est anticiper et développer son agilité

    Je vous propose 5 astuces transposables dans votre quotidien pour renforcer votre Agilité en environnement tant professionnel que personnel.

    1- « Dans mon sac j’emmène mes peurs »

    Qui d’entre nous n’a jamais mis des « au cas où » ou des « ça peut être utile » dans son sac à dos ? Parfois c’est une bonne idée … le plus souvent je m’embarrasse de choses inutiles qui ne m’encombrent plus qu’elles ne me servent. Plus je me prépare en fonction de mes peurs, et plus je m’alourdis.

    Pour être agile je propose une préparation en fonction d’un objectif, d’un projet et non par rapport à mes peurs. Je fais l’inventaire des ressources nécessaires : matériel, moyens, logistiques, humains, compétences … mais également de mes Talents ! Ensuite j’emporte uniquement de ce qui est nécessaire en acceptant de renoncer au superflu.

    Un petit retour en arrière pour revisiter mes expériences me permettra également d’identifier ma façon de réagir aux changements, aux virages et autres situations particulières (qu’elles soient agréables ou déplaisantes). L’agilité passe par le fait de mieux me connaître pour mieux réagir face à l’imprévu. Sa pratique régulière va renforcer mon autonomie, muscler ma capacité à réagir seul, ou avec peu de support.

    Je fais avec ce qu’il y a, avec ce dont je dispose; et pas en regrettant ce qui manque, ce qu’il aurait fallu. C’est valable pour le « matériel » mais aussi pour les individus. « Les personnes présentes sont les bonnes personnes » alors avançons avec celles et ceux qui là, qui se sont rendu.es disponibles.

    2- « Corps faible commande, corps fort obéit »

    Mon corps est mon véhicule dans l’environnement, donc est-il nécessaire de rappeler d’en prendre soin ? Si je suis attentif à ma santé (forme, sommeil, alimentation …) mon corps sera à mon service, il me soutiendra dans mon action. Par-contre, si je ne le suis pas, il va me dicter sa loi, son rythme, ses faiblesses et parfois me mettre en difficultés voire me faire échouer. Ça ne veut pas dire que je dois être un(e) athlète, mais prendre soin de ma santé, me connaître suffisamment (mon état, mes rythmes, mes besoins, mes limites …) renforcera mon agilité, ma capacité d’adaptation, de gestion des imprévus, et m’aidera à mieux définir mes objectifs.

    Je ne sais pas pour vous, mais il m’est déjà arrivé de commencer un entraînement sans m’échauffer … je n’en garde pas un super souvenir ! Comment être en capacité d’accueillir des situations, même parfaitement prévues, si je ne suis pas prêt physiquement ? mentalement ? Et si je m’échauffais pour démarrer ma journée comme je le ferais pour engager une course ?

    3- « La carte n’est pas le territoire »

    La carte est une représentation géographique à plat d’un lieu réel, avec ses reliefs, cours d’eau, routes, sentiers, forêts … aussi précises soient nos cartes aujourd’hui elles ne restent qu’une représentation. Si je prépare un itinéraire au millimètre sur ma carte il y a environ 99.99% de chances pour que ça ne se passe pas comme je l’ai anticipé, et que je doivent gérer certains  imprévus.

    Pour être agile je définis un point de départ, un point d’arrivée, et des indicateurs de progression. J’identifie aussi des points de repères qui me permettront de savoir que même si je dévie un peu, je suis toujours sur le bon itinéraire, et si je ne les vois pas, il sera opportun de faire un point topo. Parce que je sais que j’aurais à gérer l’imprévu, mon Plan B pourra se construire avec des points de repli, et j’ai intérêt à déterminer le point de non-retour (à partir de cette descente en rappel, la sortie se fait par le bas uniquement, impossible de faire demi-tour). Une fois ces critères définis, je n’attends pas que tout soit parfait pour agir, j’y vais et ce sera comme ça doit être !

    4- « Carpe diem quam minimum credula postero »

    En fait le temps n’existe pas, la seule chose qui existe c’est ici et maintenant !

    J’en suis totalement convaincu, notamment quand je fais des gainages, vous savez cet exercice qui dure quelques secondes qui parait une éternité ?!

    Le passé est une succession d’évènements révolus (et réécrits par notre cerveau mais c’est un autre sujet) et qui peut déclencher des regrets. L’avenir est une projection sur des évènements qui pourraient se produire (ou pas) et génère parfois notre anxiété. Œuvrer à être Agile, c’est décider que ma Vie c’est ici et maintenant, que mon passé est une compilation d’expériences et d’apprentissages, que mon avenir est un champ des possibles et une source d’enthousiasme.

    En montagne, un passage technique et/ou physique va me demander de me mobiliser pleinement. Charger le plus possible sur cette toute petite prise pour aller attraper la suivante va me demander un effort très intense. Ensuite je pourrai me reprendre un peu pendant quelques mètres d’ascension, puis il y aura à nouveau un passage difficile. Le soir au bivouac, je pourrai me reposer et récupérer. Si je suis à fond tout le temps je ne vais pas aller loin, si je suis relax tout le temps je ne vais aller nulle part …

    Temps forts – Temps morts – Récupération

    En lien avec la gestion de mon corps, de mon énergie, j’accepte d’alterner entre ces 3 niveaux d’engagement et d’intensité, que ce soit au niveau physique, mental et émotionnel.

    5- « Home sweet home »

    Je peux réaliser bien des efforts, encaisser les difficultés, subir des conditions météo épouvantables, et pour autant réussir à mener à bien mon projet. Pour cela, il me faut un solide camp de base. Ce lieu où je peux me reposer, me ressourcer, réparer ou me soigner, recharger en vivres, eau, batteries, matériel … Même spartiate, le confort d’un bivouac de fortune ou d’un igloo me permettra ce temps de récupération et de ressourcement.

    Ai-je un camp de base ? Quel est-il ?

    Ce peut être mon domicile, ma famille, un lieu, des personnes mais également un rituel (écouter un album par exemple), me retrouver dans une activité … les possibilités sont infinies et très personnelles, mais je crois que pour faire face à l’imprévu, pour accepter l’incertitude, pour vivre en agile, il est essentiel d’avoir un bon camp de base.

    Développer l’agilité pour gérer l’imprévu.

    LAgilité est donc ce subtil mélange de Savoir, Savoir Faire et Savoir Être qui me permet doptimiser ma capacité dadaptation. Cest tout … sauf de limprovisation ! Ou plutôt OUI cest de limprovisation … mais au sens artistique du terme. 

    « Un discours improvisé a été réécrit 3 fois ».
    Winston CHURCHILL
    Ancien premier ministre du Royaume Uni.

    Jentends parfois un musicien de jazz que jaime beaucoup dire « hier nous avons eu une répète dimpro’ jazz », il y a tout de même quelque chose de surprenant dans cette affirmation non ?

    En montagne, les personnes inconscientes se dégagent mécaniquement de leurs responsabilités et engagent celles des autres. Jai le droit de prendre des risques, à condition den être la seule victime potentielle ! Lagilité appelle un sens des responsabilités, pour soi mais également pour les autres. Lagilité impose de décider, ce qui en soi nest pas forcément le plus difficile. Mais ce qui est dur, cest dassumer ! Auto-organisation, adaptabilité, autonomie et bien sûr Résilience : lâcher prise nest pas synonyme de faiblesse ou dabandon, cest parfois la plus sage des décisions, et elle demande souvent plus de courage que de tenir bon.

    Pour terminer, je dirai que nous ne sommes pas tous égaux devant la « capacité dadaptation ». Pour certains les imprévus seront une difficulté, pour dautres un plaisir voire une source de motivation. Par-contre, nous avons tous le même potentiel dAgilité, cest une démarche, une discipline qui va se développer et se renforcer au fil du temps.

    Alors ? Prêt.e à renforcer votre Talent dAgile ?

    Pascal GALLIER, VAKOM RLH

    Crise de la quarantaine :
    Le premier jour du reste de ma vie professionnelle

    Par Jean-Marc GARNIER VAKOM à Marne-la-Vallée

    Article issu du webinaire visible ici

    La quarantaine paraît si loin pour certains et si près pour d’autres. Nous entendons souvent parler de la crise de la quarantaine comme un moment de prise de conscience, un moment où nous sentons ce besoin de changer certaines composantes de notre vie, nos habitudes…

    C’est cette sensation d’être au milieu de sa vie, de se remettre en question sur son parcours, ses choix, ses envies, ses projets, sa propre perception du travail…

     

    Selon une étude Opinion Way fondée sur un questionnaire à choix multiples, une fois que nous passons le cap de la crise de la quarantaine, notre rapport au travail change. Et si nous entrons plus dans le détail, 49% des personnes interrogées expriment leur ennui dans le métier qu’ils exercent, 37% se considèrent stressés par le travail, 28% ne voient plus d’évolutions possibles et 13% disent subir les ordres de la hiérarchie.

    Ces quatre grandes réponses représentent des situations subies et non choisies par la personne.

     

    Selon cette même étude, à quarante ans, notre rapport au travail change et se manifeste de différentes manières. Pour 35% des personnes interrogées, la vie personnelle prend plus de place et d’importance ; 30% d’entre elles souhaitent se sentir bien dans leur travail, puis 20% espèrent se reconvertir pour développer de nouvelles compétences, et enfin 20% semblent subir une démotivation croissante.

    Les « fantasmes » de la réalisation professionnelle une fois la crise de la quarantaine franchie ?

    » Pour 40% des personnes interrogées, la réalisation professionnelle implique de ne plus avoir à surveiller leur compte en banque. C’est avoir une stabilité économique qui permet d’acquérir une liberté financière.  

    » 26% estiment que la réalisation professionnelle correspond à la fin du stress pour le reste de leur carrière professionnelle. 

    » 20% pensent que c’est la partie de leur vie où ils peuvent se plonger dans leurs passions en dehors du travail. 

    » Et enfin, 18% estiment que c’est un moment pour changer de métier, ou changer de vie, ou encore en rachetant l’entreprise dans laquelle ils travaillent. 

    Au passage de la quarantaine, plus d’un tiers des personnes estiment que l’argent est un élément clé de la réalisation professionnelle, ce qui en fait donc un indicateur de réussite ou d’échec. Pourtant, cette pensée matérialiste peut être vue différemment comme nous l’exprime le dalaï-lama dans cette pensée :  

    « Les hommes perdent la santé pour accumuler de l’argent… Ensuite, ils perdent cet argent pour retrouver la santé… Et à penser anxieusement au futur, ils en oublient le présent… De telle sorte qu’ils finissent par ne vivre ni dans le présent, ni dans le futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir… Et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu. »  

    De quoi se questionner sur la valeur de l’argent et le rapport que nous entretenons avec. 

    Christian JUNOD nous soumet l’idée suivante : Nous entendons souvent l’expression « gagner sa vie ». C’est à dire qu’inconsciemment, si nous ne gagnons pas d’argent, nous perdons notre vie. Ce qui nous ramène à une idée de vie et de mort qui dépend de notre travail. Mais dans ce cas, pouvons-nous considérer que les parents qui décident de rester chez eux pour élever leur(s) enfant(s) ou bien les personnes qui s’engagent dans une activité bénévole perdent leur vie pour autant ?  

    A quarante ans, j’ai moi-même fait le bilan de ma réalisation professionnelle et de ma vie personnelle. Je me suis rendu compte que j’aimais passer du temps avec ma famille, que malgré mes passions pour le sport, la lecture et l’aviation, mon emploi du temps ne me permettait plus d’être libre de les pratiquer. Je voulais aussi donner de mon temps pour aider et accompagner des amis dans leurs projets. C’est en me faisant cette réflexion à quarante ans que je me suis rendu compte qu’écrire la suite de mon projet professionnel devait d’abord passer par l’écriture de mon projet de vie. 

    J’ai donc réfléchi aux conditions idéales pour me permettre de travailler, tout en étant plus proche de ma famille, et en prenant du temps pour pratiquer mes passions.  

    J’ai appliqué ces conditions, et je me suis retrouvé. J’ai ensuite réécrit mes futurs objectifs de réalisation professionnelle, et je me suis lancé dans la création de ma propre entreprise.  

    C’est quoi « la crise de la quarantaine » ?

    Alors oui nous parlons de la crise de la quarantaine. Mais qu’est ce qui se cache derrière ces mots ? 

    Saviez vous qu’en chinois, « crise » se dit « WeiJi ». « Wei » se traduit par « danger » et « Ji » par « point de changement » ce qui signifie : savoir transformer le danger en opportunité. 

     

    WeiJi : crise en chinois signifie danger + opportunité

    WeiJi

    Simon SINEK, conférencier américano-britannique et auteur de livres sur le management et la motivation, nous dit : « La force des personnes qui inspirent l’action est de parler de leurs croyances et de leurs convictions profondes, du sens des choses »  

    C’est aussi lui qui a mis en place le fameux cercle d’or reprenant le « Why » « How » « What ».  

    J’ai essayé de transposer le cercle d’or afin que nous puissions trouver en chacun de nous notre « pourquoi ».  

    WHAT :
    Toutes les personnes savent quel métier elles font.
    (100% d’entre elles). 

    HOW :
    Certaines savent comment elles se différencient des autres personnes.
    (Pas toutes). 

    WHY :
    Peu savent pourquoi elles font ce qu’elles font.
    (Très peu). 

    Si nous voulons créer notre projet de vie et nous réaliser professionnellement, nous devons avant toute chose nous interroger sur le pourquoi ? Qu’est ce qui nous anime à faire ça ? En quoi cela nous nourrit ? En quoi cela nous donne envie de nous lever le matin ?…  

    Et vous ? Comment percevez-vous la crise de la quarantaine ?

    Dans le même sondage, Opinion Way nous révèle que 23% des futurs quarantenaires sont prêts à démissionner de leur poste pour suivre leurs objectifs personnels. 19% veulent aller au bout de leurs idées quitte à renoncer à leur poste, 22% souhaitent se reconvertir dans un tout autre domaine, 12% entreprennent de nouvelles études et 7% espèrent reprendre l’entreprise familiale. 

    Alors, si à quarante ans votre rapport au travail change, voici ce que vous pouvez faire pour mener à bien ce changement.  

    L’étude d’Opinion Way indique que 26% des personnes sont prêtes à se former pour monter en compétences et aller vers de nouveaux horizons, 22% pensent à se reconvertir, et 18% souhaitent faire un bilan de compétences. 

    Dans cette démarche, vous ne subissez plus votre rapport au travail, mais vous devenez l’artisan de votre futur. C’est à vous de décider d’entreprendre pour ne plus subir ! 

    Pour entreprendre et connaitre ses forces, il existe les bilans de compétences. J’aime les comparer à une équipe de rugby. Comme le dit Marc LIEVREMONT : 

    « Le rugby, c’est le seul sport collectif où pour avancer, il faut faire des passes en arrière. »
    Marc LIEVREMONT
    Ancien joueur et séléctionneur de l'équipe de France de rugby

    Si l’on se met à la place du porteur du ballon, il sera forcément devant ses coéquipiers. Il n’aura alors dans son champ de vision que quinze adversaires, mais il devra prendre conscience de la présence de ses quatorze coéquipiers prêts à l’aider, à prendre le relais de sa trajectoire pour continuer d’avancer vers la ligne d’en but. S’il avance seul, il se heurtera aux obstacles potentiels et marquera le pas dans son parcours, en ratant probablement toutes les opportunités qui s’offraient à lui. C’est cela le bilan de compétences de VAKOM, c’est apprendre à jouer en équipe avec ses compétences pour saisir les opportunités et atteindre ses objectifs. 

    VAKOM, c’est aussi des programmes de formation et de coaching personnalisés qui vous permettront de rendre les choses possibles pour optimiser votre réalisation, et donc votre épanouissement, professionnels ! 

    Alors prêts à caler la date du premier jour du reste de votre vie professionnel ?

    Jean-Marc Garnier, VAKOM à Marne-la-Vallée